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a l’infini de nous… accueil 21 décembre 2006 il y avait eu « en apesanteur »… au tout début du début il y aura donc celle-ci « je vis où tu m’as laissé », du même interprète, pour marquer la fin: ============================================ textes protégés par copyright – certificat n° 00042163 ============================================ c’était un jeudi de septembre … de quelle année? cela importe peu, mais, c’était surtout un jeudi!… elle m’est ré-apparue ce jour-là, et d’un seul coup, d’un seul, elle a fait s’illuminer tout ce qui l’entourait… et moi avec… cela faisait pourtant tant d’années qu’elle m’avait claqué au nez la porte de sa chambre d’étudiante. je me souviens, c’était à sa rentrée, c’était à mon retour et j’avais voulu comprendre pourquoi elle ne voulait plus de moi… mais elle m’a dit « pars! », et moi je suis parti… la vie nous a happé, chacun de notre côté…le temps est passé, comme passe le temps… et puis un jour, son nom qui m’apparaît sur le net, et moi, je sais que je n’ai rien oublié d’elle… rien, car, elle est en moi! cet endroit est pour elle, pour qu’elle y retrouve un peu de nous à travers mes mots… pour elle, afin qu’elle sache tout le bonheur qu’elle me donne à chacun de ses sourires, lorsque ses yeux deviennent nacre, lorsque ses mots se font soupirs… depuis, tous les jeudi ont ce petit goût de mon enfance, ce goût de « pause », ce goût si merveilleux… – le chat – (la métamorphose de mister chat – dionysos) p.s.: je construis ce « blog » petit à petit… j’ajoute ou j’enlève, en fonction de l’humeur ou de la trouvaille… il y aura donc, sans doute, pas mal d’imperfections, et sans aucun doute, je le crains, quelques fautes d’orthographe (merci d’ailleurs de me les signaler). pour la mise en page, c’est une galère complète, surtout dès que j’essaie d’insérer une photo. alors, merci de ne pas être trop sévère!!! p.s. du p.s.: on me faisait remarquer, il y a peu de temps, que la présentation de ce blog laissait un peu à désirer… et que l’on avait tendance à aller directement lire les articles les plus récents et, de fait, ne pas trop se soucier des tomes antérieurs. certes, je ne suis pas un « pro » de la mise en page, d’autant que ces blogs ne nous laissent pas vraiment beaucoup de latitude… mais ils ont le mérite d’exister et je ne vais pas critiquer pour le simple plaisir de le faire et surtout pour m’exonérer de mon incapacité à écrire en langage html… j’ai déjà beaucoup de mal à écrire en français sans trop faire de fautes !!! et pour vous dire, je viens à l’instant même de découvrir que pour changer de paragraphe sans sauter de ligne (je crois avoir écris quelque chose là-dessus, d’ailleurs), il ne fallait pas appuyer sur « enter » mais sur « shift+enter »!!! comme vous le voyez, je progresse à grands pas,… depuis le mois d’août! enfin, tout cela pour dire que je remarque que seuls les articles les plus récents sont lus. voilà, ça, c’est dit!… et en même temps, vous faites un peu ce que vous voulez, quand même!… en meme temps, c’est super sympa de laisser un commentaire… meme pour dire que vous n’aimez pas du tout !!! donc, soit le passant qui passe se contente de lire une seule page puis, écoeuré par tant de mornitudes platonico-alexandrines, s’en va aller se pendre (oui, c’est pas vraiment français, mais je trouvais que « s’en va aller » ça donnait du grandiloquant dans la démarche; du coup, on imagine bien le gars qui part, d’un pas trainant, vers son morne destin…) avec la ceinture de son peignoir… (au fait, j’ai un super truc pour faire un noeud de peignoir qui se défait tout seul (clin d’oeil))… et c’est bien dommage, parce que… une ceinture de peignoir, en même temps, c’est pas bien solide et le gars, il risque fort de valser un max s’il se rate! … soit, ben en fait, il n’y a pas vraiment d’autres solutions sinon que d’envisager que ce que j’ai écris plus tôt est tout aussi désespérant… ce qui, donc, n’est pas une fin en « soit », puisque c’est le même, pratiquement, que le premier !!! (bon, là, y en a qui abandonnent complêtement parce qu’ils sont un peu … blondes? bon, en même temps, c’est un peu dommage, on arrive à la fin de mon propos!) enfin, voilà, c’était seulement le ps de mon premier ps… et en même temps… ce qui m’importe, c’est que ma fée, elle s’aime dans ce que je lui écris. voilà, c’est dit !!! le chat posté dans accueil | 25 commentaires » réponses… 13 avril 2010 cali: vanessa paradis: luke: paroles de « pense à moi » [oh mon amour juste un dernier tour comme au premier jour] oh mon amour juste un dernier tour comme au premier jour pense à moi je pars pour l’aventure car ici la vie m’ennuie recompter les blessures, recompter l’infini parcourir le monde, y déployer mes ailes ici je suis une ombre, un seul dans la centaine oh mon amour juste un dernier tour comme au premier jour pense à moi [pense à moi] je pars pour mon enfance morte depuis peu, retrouver l’innocence, une flamme pour mon feu je quitte la tombe que le temps creuse en sourdine ici je suis une bombe, un fantôme, une machine oh mon amour [oh mon amour] juste un dernier tour [juste un dernier tour] comme au premier jour pense à moi [pense à moi] oh mon amie juste un dernier cri pour une nouvelle vie pense à moi [tu pars si loin de moi mais je n’y suis pour rien pense à moi] je pars dans le désert au lieu de creuser dans les villes de très beaux cimetières, des colosses aux pieds d’argile je pars si loin de toi mais tu n’y es pour rien ici tout y est plat, là bas tout y est plein oh mon amour [oh mon amour] juste un dernier tour [juste un dernier tour] comme au premier jour pense à moi [pense à moi] oh mon amie juste un dernier cri pour une nouvelle vie pense à moi [juste un dernier tour juste un dernier tour comme au premier jour] posté dans tome... des autres - ces écrits qui nous parlent | aucun commentaire » sans toi, ces insomnies 9 mars 2010 il est des noires postures aux lendemains assassinés des nuits que l’on croyait liberatrices mais qui se sont voilées d’un film si sordide qu’on en ressort transi, malade et seul, surtout a trop courir l’espoir, on en demeure fou j’avais cru à demain, j’ai nourri des espoirs j’ai même bâti des rêves, j’ai fini par y croire et pourtant tout ce sable filait entre mes doigts au final, c’est cruel, que reste-t-il de toi? rien des rires de jadis rien des nombreux soupirs de nos moments délices et rien de nos délires avant toi je n’étais pas grand chose sans toi, je ne vis plus, je n’ose même plus te dire la vraie vie que je mène même pas te dire tout le poids de ma peine même plus penser soutenir ton regard tellement j’ai le coeur et l’âme qui s’égarent je te ment tous les jours, je me ment à moi-même et chaque instant qui passe, je tais tous mes « je t’aime » te parler en amie est une vraie souffrance mais c’est tout ce qui reste c’est tout ce qu’il me reste au final, c’est stupide, nier en apparence qu’il ne me reste rien de toi malgré tout, malgré toi, malgré moi rien des rires de jadis rien des nombreux soupirs de nos moments délices et rien de nos délires j’ignore tout de demain j’ose même dire, enfin que peu m’importe ces jours sans toi, sans ton amour sans tes rires de jadis sans tes nombreux soupirs sans nos moments délices et sans tous nos délires mais mes mots sont si vains et litterature peut être bien… posté dans tome 13 - les mots après... | aucun commentaire » tu ne reviendras pas 12 février 2010 j’ai des mots plein la tête mais j’ai la plume seche qui court sur le papier, le griffe plutôt que le caresse et cette page vide ne se plaint plus pour moi pour mes espoirs déçus, pour d’utopiques émois mais non, tu ne reviendras pas tu ne reviendras pas j’ai beau fermer les yeux et serrer fort les poings j’ai le coeur à l’envers, mon monde n’est plus le tien tu as fais le virage, évanoui les rires fini le beau mirage, à l’oued rien de pire tu ne reviendras pas mais non, tu ne reviendras pas que vais-je donc faire alors de tous ces sentiments ces wagons d’amour à la pelle, ces espoirs, ces serm